Pour la 3ème édition, Chahut organise le festival des Oiseaux de Passage et vous accueille à la ferme de Vieux Ville les 5,6, 7 octobre. 6 mois de préparation avec une petite pause estivale, 15 organisateurs et organisatrices pour coordonner environ 200 bénévoles, artistes et intervenant.es, 2 chapiteaux, 36 Kilo-watt d’électricité, 120 kg de légumes, 1500 l de bière, 20 000 euros de budget en autofinancement et une bonne dose d'enthousiasme. Voilà tout ce qu'il faut pour émerveiller vos yeux, vos oreilles et vos papilles gustatives.

 

Pour sa 3ème édition, le festival des Oiseaux de Passage vous accueille à la Prévalaye. Un événement festif où se mélangent :  concerts, théâtre, conférence gesticulée, espaces de réflexion, bonnes bières et frites maison.

Son nom, il le tient d’un poème de Jean Richepin, joué et chanté par Brassens. Si ce festival s’appelle ainsi, ce n’est pas seulement parce que nous aimons la chanson. C’est aussi parce que nous nous identifions à la critique exprimée au travers des paroles. Par le biais du festival, et au delà de sa volonté festive, nous souhaitons questionner une notion qui souvent, entretient les rapports de domination : LA culture.

On la réduit souvent à l’ensemble des expressions humaines sous forme d’art. Il y aurait 7 arts : l’ architecture, la sculpture, les arts visuels, la musique, la littérature, les arts de la scène et le cinéma. La culture ; ce serait ça et rien d’autre. Cette idée la transforme en une affaire d’experts et de connaisseurs, la rend monnayable et élitiste. Cette conception de la culture n’est pas quelque chose qui définit des façons de vivre, mais bien un moyen de se distinguer de celles et ceux qui « n’y comprendraient rien à l’art ».

Bien entendu, normaliser la culture et la rendre inaccessible émane d’une volonté de contrôle social et d’invisibilisation des rapports de domination. C’est ainsi que l’on modèle l’histoire et que l’on permet au mépris de classe, de genre, au racisme de trouver ses justifications. Cette culture des privilégiés tente à prendre le pas sur toutes les cultures, et vient nous déposséder des nôtres.

Mais sans culture, qui sommes nous ? Qu’est -ce qui décrit nos habitudes, nos rêves, et notre façon d’être au monde ? Quels sont nos lieux communs ?

Chahut considère la culture comme étant propre à chacun-e. Elle se vit, se pratique et ne s’apprend pas seulement sur les bancs de l’école, dans les musées ou les grand théâtres.

Ce que l’on souhaite faire vivre au travers des Oiseaux de Passage, c’est une façon d’appréhender le collectif, l’autogestion, l’éducation populaire… Une culture de sales gosses, espiègle et subversive.

Les 5, 6, 7 octobre prochain, les oiseaux de passage vous invite donc à venir débattre, discuter, se rencontrer et s’émerveiller ; à s’envoler par dessus les barrière qui sont dans nos têtes.

 


Pour sa 3ème édition, le festival des Oiseaux de Passage vous accueille à la Prévalaye. Un événement festif où se mélangent :  concerts, théâtre, conférence gesticulée, espaces de réflexion, bonnes bières et frites maison.

Son nom, il le tient d’un poème de Jean Richepin, joué et chanté par Brassens. Si ce festival s’appelle ainsi, ce n’est pas seulement parce que nous aimons la chanson. C’est aussi parce que nous nous identifions à la critique exprimée au travers des paroles. Par le biais du festival, et au delà de sa volonté festive, nous souhaitons questionner une notion qui souvent, entretient les rapports de domination : LA culture.

On la réduit souvent à l’ensemble des expressions humaines sous forme d’art. Il y aurait 7 arts : l’ architecture, la sculpture, les arts visuels, la musique, la littérature, les arts de la scène et le cinéma. La culture ; ce serait ça et rien d’autre. Cette idée la transforme en une affaire d’experts et de connaisseurs, la rend monnayable et élitiste. Cette conception de la culture n’est pas quelque chose qui définit des façons de vivre, mais bien un moyen de se distinguer de celles et ceux qui « n’y comprendraient rien à l’art ».

Bien entendu, normaliser la culture et la rendre inaccessible émane d’une volonté de contrôle social et d’invisibilisation des rapports de domination. C’est ainsi que l’on modèle l’histoire et que l’on permet au mépris de classe, de genre, au racisme de trouver ses justifications. Cette culture des privilégiés tente à prendre le pas sur toutes les cultures, et vient nous déposséder des nôtres.

Mais sans culture, qui sommes nous ? Qu’est -ce qui décrit nos habitudes, nos rêves, et notre façon d’être au monde ? Quels sont nos lieux communs ?

Chahut considère la culture comme étant propre à chacun-e. Elle se vit, se pratique et ne s’apprend pas seulement sur les bancs de l’école, dans les musées ou les grand théâtres.

Ce que l’on souhaite faire vivre au travers des Oiseaux de Passage, c’est une façon d’appréhender le collectif, l’autogestion, l’éducation populaire… Une culture de sales gosses, espiègle et subversive.

Les 5, 6, 7 octobre prochain, les oiseaux de passage vous invite donc à venir débattre, discuter, se rencontrer et s’émerveiller ; à s’envoler par dessus les barrière qui sont dans nos têtes.

 

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